[Tuto] Prise en charge de la clé Wi-Fi D-Link DWA-125 sur Ubuntu 12.04

30 décembre 2012

Avec les cours de cuisine, j’ai eu peu de temps pour mes sites, même pour Pixels de saveurs, mon blogue gourmand. Puisqu’on est dans le temps des Fêtes, j’ai en ce moment beaucoup de temps de libre et j’ai eu le temps de nettoyer mon gros site qui avait eu une grosse attaque de spam, et de faire du rattrapage sur le blogue gourmand.

Pour en revenir au sujet de l’article, nous venons tout juste de passer au Wi-Fi à la maison, et mettons que c’était temps, avec quatre ordis (dont deux laptops dont celui de l’asso), trois smartphones ainsi que de projets d’achat d’une tablette Android. Mais étant donné que les deux tours, dont la mienne, datent quand même pas mal, il a fallu acheter une carte Wi-Fi USB pour chacune d’elle. Si du côté de Windows, t’as le pilote sur le CD, il faut par contre vérifier quand il s’agit d’un poste Linux, car pour une même marque, certains modèles sont supportés out-of-the-box, d’autres requièrent certaines manipulation, qui peuvent parfois aller jusqu’à la compilation du pilote pour une version de distribution donnée.

C’est ce qui m’est d’ailleurs arrivée, puisqu’en faisant des recherches, j’ai découvert que pour la prise en charge de la carte DWA-125 de D-Link sur Ubuntu 11.10 et 12.04 et ses dérivés (Xubuntu, etc.), on doit compiler le pilote. Du coup, j’ai eu mon baptême de la compilation à partir des sources puisque je n’en avais jamais fait avant. Ça s’est finalement super bien déroulé et je suis maintenant connectée en Wi-Fi avec la carte en question sur ma Xubuntu 12.04.

Sachant que d’autres pourraient être dans la même situation que moi, voici donc la traduction libre des étapes décrites sur ce lien, qui s’applique aussi à la 12.04 : Install DWA-125 wireless driver on Ubuntu 11.10.
Je mettrai des annotations entre parenthèses et en italique.

Note : J’ignore totalement si ça marche aussi sur Ubuntu 12.10 puisque je ne change de version qu’à chaque LTS, et c’est la seule machine Ubuntu que j’ai.

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L’adapteur sans-fil DLink DWA-125 peut être installé sur Ubuntu 11.10 depuis les sources du pilote. Cet article se base sur ce post sur Ubuntu Forums par flbiggs. Aucun pilote n’est disponible pour DWA-125 sur Linux. Il est donc nécessaire de compiler le pilote du chipset depuis les sources. Ubuntu 11.10 est fourni avec Linux 3, donc même si quelqu’un avait installé à partir de la méthode de flbiggs dans une version antérieure d’Ubuntu, il/elle aura à refaire l’intégralité des manipulations à partir de zéro, puisque dans mon cas, le pilote n’avait pas été mis à jour automatiquement pour la nouvelle version du noyau Linux. Même en faisant un lien symbolique sur l’ancien pilote, ça ne fonctionne pas. Cela causait des erreurs de compatibilité. Donc voici comment installer DLink DWA-125 sur Ubuntu 11.10. Comme signalé par d’autres, cette méthode fonctionne également pour Ubuntu 12.04.

Mise à jour

Si votre DWA-125 cesse de fonctionner après une mise à jour du noyau, je vous recommande de réinstaller à partir des sources, selon les étapes suivantes, en compilant pour la nouvelle version du noyau.

Avant de commencer

Pour exécuter les commandes mentionnées dans cet article, vous devez avoir accès au compte superutilisateur (sudo). Aussi, si le paquet build-essential n’est pas installé, vous devez l’installer. Vous pouvez entrer sudo apt-get install build-essential dans le terminal pour l’installer.

Télécharger les sources

Premièrement, allez chercher les sources. Les sources sont disponibles sur le site de Ralink, mais si vous avez des difficultés à trouver la bonne partie, téléchargez-le depuis le miroir TwiCore en utilisant ce lien (C’est ce que j’ai fait). Décompressez l’archive à l’endroit approprié (Je l’ai mis dans mon dossier personnel).

Installation

Pour les besoins de cette documentation, supposons que le nom d’utilisateur d’Ubuntu est « user » et que le chemin vers le dossier où l’archive a été décompressée est « ~/source/dwa-125 ».

Éditer les configurations

Éditez le fichier ~/source/dwa-125/os/linux/config.mk et changez les valeurs suivantes :

ligne 56
# Support Wpa_Supplicant
HAS_WPA_SUPPLICANT=y

ligne 59
# Support Native WpaSupplicant for Network Maganger
HAS_NATIVE_WPA_SUPPLICANT_SUPPORT=y

Ouvrez le terminal et changez de dossier

cd ~/source/dwa-125

Exécutez make

sudo make

Exécutez make install

sudo make install

Mettez en liste noire les pilotes qui ne sont pas nécessaires

Éditez « /etc/modprobe.d/blacklist.conf » et ajoutez ces lignes :
blacklist rt2x00usb
blacklist rt2x00lib
blacklist rt2800usb

Activez le module du pilote
Pour Ubuntu 11.10, j’ai découvert que j’avais besoin d’utiliser RT5370STA au lieu de RT3070STA comme mentionné par flbiggs (ce changement marche aussi pour 12.04). Donc voici la commande nécessaire pour activer le module et prendre en charge la clé sans-fil DWA-125 :
sudo modprobe rt5370sta

Ceci devrait prendre en charge l’adapteur sans-fil et le gestionnaire de réseaux devrait commencer à rechercher des réseaux sans-fil disponibles.

Faire charger le pilote au dmarrage
Éditez « /etc/modules » et ajoutez cette ligne :
rt5370sta

Ceci devrait activer la clé DWA-125 à chaque fois que vous démarrez votre ordinateur.

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Et voilà le travail de mon côté, sur Xubuntu 12.04 !

Important : Conservez le dossier décompressé des sources, car la clé risque de ne plus fonctionner lors des mises à jour du noyau. Lorsque ceci survient, il vous suffit de recompiler le pilote et de l’activer à nouveau, et vous n’avez pas besoin d’éditer de fichier.

Wi-Fi sur Xubuntu 12.04

Tout comme l’article en anglais, cette traduction est sous licence Creative Commons BY-SA. Vous pouvez donc la publier sur votre blogue, en autant que vous citez les sources, soit le lien de l’article en anglais ainsi que le lien de mon article, et que toute modification soit publiée sous la même licence.

De août à novembre

3 novembre 2012

Depuis mon dernier billet, il s’est passé beaucoup de choses, mais vu mon emploi du temps rendu chargé avec les cours et l’adaptation au nouvel horaire, j’ai commencé plusieurs billets, sans les finir, parce que soit il s’agissait d’un billet d’humeur commencé pendant un petit down et que ce down est passé ensuite, soit un ennui technique faisait que je laissais ça de côté pour ensuite l’oublier.

…pour finalement me rendre compte que ça fait maintenant deux mois et demi que je n’ai rien publié ici, pendant que j’ai eu le temps de publier quelques recettes sur Pixels de saveurs. Je vais donc dans ce billet récapituler ce qu’il s’est passé dans ma vie depuis août.

Retour aux études

C’est bien le changement le plus important dans ma vie. Cela faisait plusieurs années que j’étais en sabbatique car je ne savais pas vers où aller, jusqu’à ce que je décide finalement d’aller en cuisine. J’ai donc commencé les cours le 29 août. Et jusqu’ici tout va assez bien, et j’arrive même à me surprendre aux deux derniers examens de module que j’ai faits, alors que je stressais à fond.

Même si je suis déjà bonne en cuisine, j’ai quand même appris beaucoup de choses, dont plusieurs astuces, notamment le fait d’utiliser de préférence un bol en verre pour monter des blancs en neige, ou encore cuire un rôti à une température plus basse pour qu’il soit plus tendre, ou encore la préparation d’une mayonnaise ou d’une béchamel sans grumeaux ou d’un beurre noisette. Et j’ai aussi découvert la citrouille, que nous ne mangions pas à la maison, car ma mère ne faisait jamais de recette avec, faute d’avoir développé le goût pour ça.

Jusqu’ici, j’ai eu de très bonnes notes, même aux examens où j’ai eu des difficultés, comme celle des techniques de cuisson où les questions étaient franchement pas évidentes.

Le cours va finir en décembre 2013.

Au niveau de mon anxiété

Dans mon dernier billet, ça faisait un mois depuis que j’avais commencé ma médication pour reprendre le dessus sur mon anxiété. Depuis, j’ai fait augmenter la médication une fois et ça va rester ainsi jusqu’à ce que je finisse le cours et que je me place. J’ai maintenant assez remonté la pente pour que je me replonge dans le livre que j’avais laissé de côté il y a quelques mois, et je l’ai maintenant fini. Je n’ai plus cette roue qui tourne sans arrêt dans ma tête avec des images effrayantes ou sombres.

Mon passage au smartphone

Cela faisait 7 ans que j’avais le même téléphone portable, un vieux Motorola pliant qui fonctionnait super bien. Puis cet été, son âge vénérable l’a rattrapé, puisqu’il s’était mis à mal fonctionner : lorsque je l’ouvrais, l’écran était noir ou bleu pendant un certain temps (jusqu’à une minute) avant d’afficher, ce qui fait que je pouvais manquer un appel ou n’avoir pas le temps d’arrêter l’alarme avant qu’il ne s’arrête. Et au moindre mouvement, ça coupait et revenait à l’accueil, ce qui faisait que je perdais un texto que j’étais en train d’écrire, et je devais alors tout recommencer.

C’est justement après avoir manqué un appel à cause d’un lag que j’ai fini par prendre la décision de m’acheter un téléphone neuf. Et tant qu’à me moderniser, aussi bien me prendre un smartphone Android (je ne voulais pas de iPhone), mais je tenais au clavier physique. Après avoir fait le tour, j’ai fini par en trouver un, un LG Optimus Chat tournant sous Android, avec un clavier coulissant pour texter. J’ai ensuite fait transférer mon numéro et mes minutes dessus.

Or, j’avais remarqué un premier problème deux semaines après : le son grésillait lors des appels. Pensant à un défaut de fabrication, je me suis tournée vers le SAV de Telus un mois après l’achat pour le faire réparer. De plus, après les premières MÀJ logicielles, le système coupait et redémarrait.
Deux semaines plus tard, le téléphone revenait, réinitialisé et avec le son nickel (j’ai pris la peine de tout sauvegarder avant). Mettons que pendant les deux semaines où j’avais un téléphone de dépannage (une LG Breeze, que je n’aimais pas beaucoup), j’avais hâte en maudit de ravoir mon téléphone.

Le grésillement était revenu lorsque j’ai lié mon compte Google à mon téléphone. Comme je n’avais pas envie de réinitialiser le téléphone pour pouvoir déconnecter mon compte Google, j’ai fait des recherches sur des forums dédiés à Android, et j’ai vu qu’on parlait souvent des reboot.
J’ai alors tenté un simple redémarrage (éteindre puis rallumer le téléphone), mais le son restait. Je me suis alors rappelée que lorsque j’avais fait débloquer la fonction des textos sur mon vieux Motorola, on m’avait fait retirer la pile pendant 2 minutes. J’ai donc essayé ça et… BINGO ! Le son des appels était à nouveau clair !

Maintenant, tout va bien, mais je peux dire que cette fois, je ne les ferai pas les mises à jour logicielles !

Pour mon prochain investissement, je compte bien y aller avec un PC portable, si possible avec un bon niveau de compatibilité avec Linux et avec des bonnes specs pour tourner des VM et mes logiciels de graphisme.

Le mot de la fin

Je pense que c’est tout, il n’y a rien d’autre qui me vient en tête, sinon que mon frère est maintenant en appartement, nous sommes donc maintenant 3 à la maison. Quant à moi, ça n’ira pas avant 2014.

Mis à part les MÀJ de mes styles phpBB3 (qui attendent toujours d’être approuvés), j’ai recommencé à travailler sur mon cours de Gimp, mais c’est beau si j’arrive à y travailler un soir par semaine.
Quant à mes sites, je n’y ai pas retravaillé et tout est en pause, sauf ce blog dont je viens de mettre WordPress à jour.

Je remonte enfin la pente !

15 août 2012

Je me rends compte que ça fait un bout que je n’ai rien publié, et que le brouillon que j’avais commencé n’était plus très à jour. Donc autant repartir à zéro pour donner des nouvelles.

Cela fait maintenant un mois et demi depuis le début de la prise des antidépresseurs, et mis à part les effets secondaires de la première semaine (diarrhée, nausées, étourdissements) qui se sont depuis estompés, je n’ai pas eu d’autres effets secondaires. Si les trois premières semaines j’ai eu d’autres périodes d’anxiété avec les symptômes, je n’en ai pas eu d’autres depuis plus de deux semaines, même les derniers jours avant le stage d’essai. Je suis aussi plus posée depuis que j’ai commencé la médication, et je déprime moins facilement qu’avant. J’ai aussi retrouvé le goût de cuisiner et je suis de nouveau active depuis plus de trois semaines.

Parlant du stage

Puisque le téléphone de la prof de cuisine tardait à arriver, j’ai fini par tenter de la contacter, pour finalement y arriver un vendredi matin. Elle m’a alors donné rendez-vous aux cuisines du cégep les 10 et 11 août vers 9h du matin.

Le jour venu, si à mon arrivée le fait que la prof n’était pas là (elle n’arrivait que le lendemain) et que la chef qui était là était confuse concernant ma présence (elle a eu à contacter la prof justement pour faire démêler ça) me rendait tendue, le stress a baissé une fois que tout ça était démêlé et qu’on m’a assigné une première tâche, puis tout s’est bien déroulé par la suite durant les deux jours de stage. De plus, l’un des camarades de classe de mon frère était là, ce qui fait que j’avais déjà un visage familier parmi les collègues. De plus, j’ai découvert qu’il était anxieux lui aussi et qu’il a déjà eu à passer par le même chemin que moi.

J’en suis donc ressortie motivée à continuer avec mon choix, puisque j’ai vu que je suis capable de travailler dans une cuisine.

Pour la suite

Je revois mon psychiatre le 21 août, et j’ai mon inscription pour le cours le même jour. Je dois aussi contacter mon intervenante qui m’a été assignée par le Centre Local d’Emploi, afin de régler la question de mes chèques, car je me vois mal passer un an et demi sans revenu régulier alors que je paie une pension mensuelle, ainsi que ma part du loyer du terrain de camping. Mais je compte tout de même demander à la prof de cuisine pour faire un ou deux quarts de travail par semaine dans son entreprise, un fois que j’aurai le certificat de la MAPAQ. Le cours commence le 29 août.
Quant à la médication, je ne me vois pas arrêter à court terme, ce serait trop prématuré alors qu’il me reste encore du travail à faire sur mon anxiété. Car je compte bien me payer une thérapie plus tard, quand j’aurai un emploi stable.

Quand le cerveau s’emballe…

8 juillet 2012

Je me suis rendue compte que ça faisait un bout que je n’avais pas blogué. En fait, je commence tout juste à me sortir d’un long mois particulièrement difficile sur le plan émotionnel où j’avais complètement perdu le contrôle de mon anxiété.

Quand la bulle éclate

Alors qu’au début avril, je jubilais quand j’ai vu ma demande d’admission acceptée pour le cours de cuisine, une tuile m’est tombée sur la tête au début de juin : Lors de ma visite chez l’ophtalmo pour un suivi suite à ma seconde crise d’uvéite, j’ai eu le malheur de mentionner que j’avais été acceptée au cours et c’est alors que le docteur a émis des réserves sur mon choix, sur le plan de la sécurité à cause de ma vision et qu’il serait préférable que je fasse un stage d’essai pour confirmer mon choix. Sauf qu’il ne me connaissait pas.

Et vlan ! Tout a basculé ! Le choc a été tel que tout ce qui ne me causait peu ou pas d’anxiété dans la fiction se met à me déclencher de bonnes crises, que ce soit quand un personnage raconte la chute d’une cité ou quand les protagonistes se retrouvent confrontés à un monstre qui menace de les bouffer, ou tout autre chose qui représente le néant, la chute dans le vide, l’effondrement… bref tout ce qui me ramène à ma crainte de voir mes rêves s’écrouler et de ne jamais m’en sortir. Donc, lire de la fantasy commençait à devenir difficile et j’ai d’ailleurs dû suspendre la lecture du dernier tome de l’Héritage en attendant que je sois plus stable. Donc pour le moment, exit tout ce qui est (en livre ou en film) science-fiction et fantasy et qui contient des trucs tristes ou effrayants, car je ne peux pas savoir à quoi m’attendre dans les pages suivantes, et la dernière fois que j’ai lu, j’en ai fait une bonne crise qui a duré 4 jours, au point d’avoir des palpitations, des nausées, des pensées parasites, une douleur à la poitrine, de l’insomnie et une baisse d’appétit. J’ai fait une autre crise deux ou trois semaines auparavant, qui avait duré 6 jours. C’en était au point qu’à la roulotte, lorsque j’étais en crise, je refusais d’ouvrir le couvercle de la toilette lorsque je tirais la chasse : même l’idée de voir le trou me causait des frissons, alors que les toilettes de roulottes sont pourtant parmi les moins anxiogènes parmi toutes les types de toilettes, moi qui a une phobie de ça !

Alors que j’avais fait des progrès depuis 2009, je me retrouvais donc à reculer grandement puisque j’avais complètement perdu le contrôle. Je sentais que si je ne faisais rien, je finirais tôt ou tard par me retrouver hospitalisée suite à un pétage de plomb ou à une dépression nerveuse. Avec un tel état de fragilité, je n’avais donc pas le coeur de travailler sur la mise à jour de mon cours sur Gimp, ni sur mon site.

La pilule, dernier recours

Puisqu’à la fin du mois de juin, je devais voir le psychiatre suite à ma demande pour me faire évaluer pour le trouble déficitaire de l’attention, j’en ai donc profité pour vider mon sac, car j’en avais vraiment ras le c*l de voir mon anxiété pourrir ma vie et que ça prenne même de l’ampleur malgré mes efforts ! J’étais rendue à l’étape où je n’avais plus d’autres choix que de prendre la méthode de dernier recours : la médication.

Cela fait donc depuis samedi le 30 juin que j’ai commencé la médication pour pouvoir reprendre le contrôle sur mon anxiété généralisée. Et vu que ça fait maintenant une semaine, les effets secondaires qu’on a généralement la première semaine ont fini par s’estomper. Maintenant, tout ce qu’il reste, c’est d’attendre que l’effet atteigne son maximum à partir de la fin de ce mois. Mais déjà, je me sens beaucoup moins soupe au lait et ça se ressent dans l’atmosphère familial, moi qui me prend souvent la tête avec mon père et mon frère qui ont le même caractère.

Depuis la première pilule, j’ai donc un réveil-matin activé en permanence sur mon téléphone cellulaire, pour pouvoir la prendre toujours à la même heure.

Maintenant, ce qu’il me reste, c’est d’attendre le téléphone de la prof de cuisine pour le stage d’essai, puisque mon frère m’a donné son numéro et que j’ai laissé un message sur sa boîte vocale. Je revois aussi le psychiatre le 21 août.

Menu idéal pour une soirée aux manèges

25 mai 2012

Il y a un an, j’ai été malade pour la première fois dans les manèges. Le souper n’avait rien à voir, puisque j’avais mangé léger, c’est plutôt ma crème molle prise au milieu de la soirée qui n’a pas passé. C’est là que j’ai réalisé que mon estomac commence à être un petit peu raleur, alors que je n’ai jamais été du genre à être malade en auto ou en bateau.

Cette année, j’ai pris des précautions supplémentaires et cette fois, je n’ai pas été malade, même si je m’étais bien apporté un sac juste au cas.

Je vous donne donc mes trucs pour minimiser les risques d’inconfort à l’estomac lorsque vous faites des manèges.

Au souper : manger léger !

Ce qui est alourdissant, c’est tout ce qui contient des féculents ou qui est gras, et ce n’est vraiment pas l’idéal lorsqu’on va se faire brasser pendant quelques heures.

Le repas idéal doit donc ne contenir que des crudités et une protéine maigre, comme des oeufs durs, du blanc de poulet, du poisson (sauf le saumon en boîte, qui cause des brûlures d’estomac chez certaines personnes) ou des fruits de mer. Évitez les corps gras et le pain, vous pourrez en prendre plus tard après les manèges. Je ne conseille pas non plus de prendre des laitages.

Pendant les manèges: Du jus et pis c’est tout !

Si vous faites une pause entre deux tours de manèges pour prendre quelque chose, je vous recommande de vous limiter à un jus, même si elle est sucrée, et attendez une quinzaine de minutes avant de retourner dans un manège, le temps que ça descende un peu. Le jus est très digeste et passera vite sans causer d’inconfort, contrairement à une crème molle qui est assez grasse malgré tout.

Après les manèges: Ce que vous voulez !

Une fois que vous avez terminé avec les tours de manège, c’est là que vous pouvez manger ce qui vous tente, que ce soit une crème molle, ou encore un hot dog avec frites ou encore des chips. Bref, ce que le resto sur place offre.

Et quelques petits trucs supplémentaires

Je finis avec quelques petits trucs simples que vous pouvez appliquer pour réduire encore plus les risques de malaises dans les manèges.

Premièrement, lorsque vous êtes dans un manège que tourne ou dont vous vous retrouvez la tête en bas regardez tout droit sur un point fixe, et évitez surtout de regarder sur les côtés.

Dans les manèges de type « centrifugeuse » comme le Zero Gravity de Beauce Carnaval, attendez que le manège soit complètement immobilisé avant de vous détacher, afin d’éviter les pertes d’équilibre et le tournis, qui pourraient être source de nausée chez les estomacs fragiles.

Pour les personnes myopes, il peut arriver aussi que la vision floue suite au retrait des lunettes soit source de nausée, donc vous pouvez faire en sorte de soit vous mettre des lentilles cette journée-là, ou vous mettre un bandana qui permettra de garder vos lunettes plus solidement sur vous et ainsi, ne pas risquer de les perdre lorsque vous avez la tête en bas, par exemple dans le Fireball de Beauce Carnaval.

MÀJ de mon cours sur GIMP commencée

16 mai 2012

À peine j’ai installé GIMP 2.8 sur ma Xubuntu et publié ma news consacrée à cette nouvelle version sur le site du zéro (et pour une fois que je suis fière de ma news et non pas en dépression nerveuse, osti !), je n’ai pas tardé à commencer la mise à jour de mon cours pour prendre en compte les nouveautés.

Contrairement à la dernière fois, l’organisation changera très peu et restera donc globalement le même. Les changements se limiteront au remplacement des captures, à la réécriture et à l’ajout de certains paragraphes ou de certaines phrases, ainsi que la correction de certains passages. On pourrait donc considérer ça comme une version 2.1.

Jusqu’ici, j’ai terminé la mise à jour des deux premiers chapitres et j’ai commencé le chapitre 3. J’ai aussi mis à jour une des sous-parties d’annexe.

Du coup, puisque le gestionnaire de captures par défaut de Xfce est plus limité que celui de Gnome, j’ai fait la découverte de Shutter, un utilitaire libre (GPLv3) de captures d’écran sous Linux assez sympa qui permet non seulement de capturer le bureau entier, une fenêtre ou une zone définie, mais aussi de capturer une page Web ou un menu, et même d’éditer ses captures pour les retailler, ajouter du texte, des lignes, des cercles et des rectangles, et on peut aussi uploader directement les captures vers un service d’hébergement de son choix, que ce soit votre FTP ou votre service d’hébergement d’image préféré. Très pratique pour les tutoriels !
Shutter est normalement disponible dans les dépôts de la plupart des distributions GNU/Linux.

Maintenant sur Xubuntu 12.04 ! (+ VDM)

11 mai 2012

Ça fait déjà 5 jours que j’ai fait le saut, mais je voulais attendre d’avoir réglé les problèmes les plus ennuyants avant d’écrire un billet.

D’habitude, j’attendais plus de deux semaines, voire plus d’un mois après la sortie d’une nouvelle version LTS avant de changer de version, mais cette fois-ci, la situation est différente, puisqu’en même temps qu’Ubuntu 12.04 était sur le point de sortir en version finale, la toute nouvelle branche de GIMP, la 2.8 arrivait en version Release Candidate, qui est la dernière phase avant la version stable.

VDM : Quand on me prend pour le bureau des pleurs…

Mais entre-temps, j’ai eu à faire face à une situation extrêmement stressante, puisque l’administrateur d’un forum où je suis graphiste a des problèmes avec un membre qui m’a même prise pour le bureau des pleurs juste parce que j’avais les accès admin (qui me sont nécessaires pour la maintenance graphique)… alors que je ne me souvenais plus que l’admin m’en avait déjà fait part ! Depuis, j’ai anonymisé mon compte en enlevant toute donnée susceptible de m’identifier, et en choisissant un pseudonyme générique. J’ai aussi créé un second compte, sans droit spécial, pour mes posts hors de l’espace admin, question de bien séparer les deux rôles, question que je ne revive plus ça ! J’espère juste ne pas avoir à changer mon pseudo en plus, là où j’utilise encore une des déclinaisons d’Ishimaru (SDZ, Ubuntu-fr, phpbb.com, …), tout comme j’avais abandonné Katt, mon premier pseudo que j’utilisais à l’époque où j’étais sur Forumactif et qui venait d’un personnage féminin de Breath of Fire II.

Bref, ça avait monopolisé mon esprit pendant plusieurs jours et j’avais même déjà pensé à abandonner mon poste car je craignais pour le déroulement de mes études, et surtout la réaction de ma famille si le membre en question mettait sa menace à exécution pour du contenu litigieux qui n’existe plus depuis suite à la suppression d’une section qui s’est avérée plus problématique qu’autre chose même si j’avais déjà ce mauvais pressentiment au départ.

Donc un conseil pour ceux qui font de la maintenance technique ou graphique et qui veulent poster des sujets hors-admin de temps en temps sur le forum où ils bossent : Mieux vaut utiliser deux comptes – Un avec accès admin exclusivement pour le boulot, et un sans accès admin, pour participer comme simple membre. Et surtout, aucun élément permettant de faire le lien entre les deux comptes, et bloquez la réception de courriels par les membres dans vos options de profil du compte admin ! Comme ça, vous serez beaucoup moins à risque d’être enquiquinés en cas de litige entre le fondateur (ou le community manager) et un membre puisque ce n’est de toutes façons pas votre rôle de gérer ça !

Pour en revenir à mes geekeries

Après cette épisode, je me suis replongée dans le codage de mon site, puisqu’il restait des modules non codés qu’il me restait à faire. Sachant qu’en passant à la nouvelle version par clean install (que je préconise car moins de risque d’erreurs dans les fichiers), j’allais avoir à réinstaller le serveur LAMP, je me suis donc plongée dans 3-4 jours intensifs de codage (j’en oubliais même de prendre ma collation d’après-midi), avec ma jpop dans les oreilles. Entre-temps, GIMP 2.8 stable est sorti, donc j’ai mis encore plus d’ardeur au boulot et donc le lendemain, j’ai pu enfin finir la correction des bogues critiques et autres erreurs de syntaxe dans mon code.

À partir de là, j’ai gravé mon iso d’Ubuntu 12.04 LTS, et j’en ai profité aussi pour télécharger et graver l’iso de Xubuntu 12.04 LTS. Autant avoir une copie de Xubuntu si ça n’allait pas avec Unity. Puis finalement, samedi en journée, j’ai fait mes sauvegardes (SQL, /home, bookmarks FF) sur mes deux disques de données (l’un interne, l’autre externe), puis après le souper, j’ai procédé à l’installation d’Ubuntu 12.04 par dessus Ubuntu 10.04 LTS.

… sauf que mon CD bloquait à l’écran bourgogne à chaque tentative, alors que le MD5sum était bon et qu’aucune merdouille n’a été signalée lors de la gravure ! J’ai donc sorti mon CD de Xubuntu qui lui, démarrait parfaitement et j’ai donc décidé que ma nouvelle version utiliserait Xfce au lieu de Gnome/Unity, ce qui n’en serait que mieux pour ma machine vieillissante qui tient toujours son bout.

Compte-rendu – L’installation

Premièrement, j’ai dû m’y reprendre deux fois pour l’installation. La première fois, ça avait bloqué à l’étape de l’analyse des disques et j’ai donc dû redémarrer de force. Sachant qu’à la première tentative, j’avais chargé le bureau et ouvert/fermé des applis pour faire des tests, j’ai cette fois-ci décidé de passer directement à l’installation afin de charger moins d’affaires puis cette fois, ça s’est bien déroulé.

Une fois l’installation terminée, je redémarre et je constate que Grub ne s’affichait pas (hors-limite) même s’il fonctionnait sans problème. En faisant des recherches sur ubuntu-fr, j’ai trouvé un sujet où d’autres ont eu le même problème et où quelqu’un a donné la solution qui consiste à éditer le fichier /etc/default/grub et à décommenter la ligne GRUB_GFXMODE=640×480 et ensuite ajouter les résolutions voulues, par ordre de priorité (GRUB_GFXMODE=1024×768,800×600,640×480 pour moi). Après un sudo update-grub, j’ai redémarré, pour retrouver le menu Grub. Et de une !

Quand la souris refuse de grossir

Ensuite, un deuxième problème se posait : J’avais grossi mon curseur, sauf que sa taille n’était pas constante. Elle restait petite en dehors des fenêtres, et ça ne le faisait que pour la flèche. Alors que sur Gnome, je pouvais résoudre ça en désactivant Compiz, ce n’était pas possible avec Xubuntu puisque Compiz n’est pas installé ! J’ai alors voulu me déconnecter en prenant « Session Xfce » au lieu de « Session Xubuntu » pour voir si ça allait redonner une souris constante, sauf que je me suis retrouvée enfermée dehors de ma session !

J’ai tenté de redémarrer sur Win, mais une coupure 2 minutes après un premier démarrage et une deuxième coupure pendant un deuxième démarrage m’a découragée, donc je suis retournée sur Xubuntu, en mode récupération pour faire un fsck pour être sûre que ça ne vient pas d’une merdouille dans les systèmes de fichier. Finalement, ce n’était pas ça. Je retourne à mon écran de connexion, puis tout d’un coup une idée me vient : « Et si j’essayais avec le compte invité ? ».

Comme de fait, j’arrivais à me connecter sur la session invité et j’ai pu filer vers Ubuntu-fr pour faire des recherches au sujet de mon problème ! Je tombe alors sur un sujet où des membres ont eu le même cas de figure (pas capable de se connecter sur le compte principal, mais pouvait se connecter sur la session invité) et dont la suppression de .Xauthority avait réglé le problème. Je retourne donc en mode récupération et je supprime le fichier incriminé sur mon /home, puis je redémarre en mode normale pour enfin retrouver ma session !

Mais il me restait toujours mon problème de curseur. Après avoir cherché, cherché, cherché, je teste la commande sudo update-alternatives –config x-cursor-theme et je choisi l’option 6 (DMZ-White en mode manuel), je me déconnecte, me reconnecte, mais rien. Je teste mon truc du gconf, je me déconnecte, rien, redémarre, yess !

…sauf que le lendemain, je décide de défaire mes manipulations afin de valider ma manip et cette fois, je redémarrais entre chaque manip… pour découvrir finalement que le truc du update-alternatives suffisait, mais qu’il fallait que je redémarre, et non que je me déconnecte pour que ce soit pris en compte !

J’ai donc enfin une grosse souris partout sur Xubuntu, et j’ai appris à mes dépens que la déconnexion ne suffit pas pour faire prendre en compte des modifs récalcitrantes !
Maintenant, je détiens la manip à faire si je montre Xubuntu à la coordonnatrice de notre asso et qu’elle veut l’essayer !

GIMP 2.8

Entre-temps, j’ai installé GIMP 2.8 avec le PPA mis en ligne pour Ubuntu Precise (et ses variantes) le soir même où je suis passée à la nouvelle version de Xubuntu, et j’ai donc pu tester les nouveautés, comme la fameuse fenêtre unique, les groupes de calques, le nouveau moteur de dynamique des brosses, les styles de texte et bien d’autres. Vous avez la liste complète des nouveautés ici sur LinuxFr, mais je viens aussi de finir la rédaction d’une news sur le SDZ à ce sujet, et elle est en cours de relecture par l’équipe des newsers. Vu que GIMP 2.8 était déjà sorti, je me suis arrangée avec Arius pour accélérer la publication pour éviter que ça ne sorte un mois après. Donc pas d’étape des votes (ça n’aurait fait que retarder), vu que de toutes façons, la news était assez étoffée et je venais de corriger les dernières erreurs.

[Découverte] Optimiser vos PNGs graphiquement sous Linux avec Trimage !

29 avril 2012

Dernièrement, en lisant mon fil Twitter, je suis tombée sur un tweet de l’ami @piouPiouM, connu pour ses tutoriels Gimp et son livre qui y est dédié. Il cherchait alors des utilitaires d’optimisation pour les JPG et les PNG. Moi qui suis toujours à l’affut d’utilitaires compatibles Linux pour optimiser les PNG pour mes éléments graphiques, un tweet m’a particulièrement attiré l’attention.

Le tweet en question parle d’un utilitaire graphique libre qui s’appelle Trimage. Écrit en Python avec la bibliothèque Qt, et distribué sous licence MIT et s’appuyant sur optipng et pngcrush, Trimage est disponible pour les principales distributions GNU/Linux. Un portage pour Windows et un autre pour Mac sont en cours, et des testeurs sont justement recherchés pour les tester et rapporter les bogues.

Fonctionnement de l’utilitaire

Trimage est assez simple à utiliser. En le lançant, vous allez avoir cette petite fenêtre :
Trimage au lancement

Ensuite, vous avez deux façons d’aller chercher les images.

La première consiste à cliquer sur le bouton « Add and compress » qui vous ouvrira la fenêtre vous permettant de parcourir vos dossiers et fichiers, puis choisir le ou les fichiers à compresser.
Trimage - Parcourir des fichiers

La deuxième consiste à un simple glisser-déposer des images sélectionnées depuis votre navigateur de fichiers (dont la fenêtre ne doit pas être en pleine grandeur)
Trimage - Glisser-déposer des fichiers

Une fois les images choisies, Trimage va les compresser pour enlever les informations superflues, notamment le gamma et les profils ICC, qui sont des plaies en webdesign. Cela peut prendre un certain temps si les images sont volumineuses.
Vous avez à la fin les résultats :
Trimage - Résultats

Pour les grosses images, il se peut que la baisse soit minime, mais ça en vaut la peine puisque vous n’aurez pas à vous battre avec des problèmes d’assombrissement sous IE (causé par le gamma) ou des problèmes de couleurs erronées sous Firefox (causé par les profils ICC) lorsque vous faites du webdesign avec Gimp ! Si vous voulez une compression plus forte, vous pouvez tenter de postériser vos images en réglant adéquatement pour que la perte soit aussi peu perceptible que possible, avant de les passer sous Trimage.

Voici un exemple de la différence que ça fait quand on optimise les images avant leur intégration.
Une image, avant et après Trimage
À gauche, vous voyez le rendu sous Firefox sans optimisation, et à droite, le rendu toujours sous Firefox, mais après optimisation. On voit vite que le bleu paraît violet à gauche, ce qui devient très problématique en webdesign. L’utilisation d’un outil d’optimasation en complément d’un éditeur d’image devient vite essentiel, surtout si votre logiciel ne permet pas de supprimer les profils ICC.

Cet utilitaire est donc à utiliser en complément à votre logiciel de graphisme, que ce soit pour le webdesign ou pour pour vos captures d’écran destinées à vos tutoriels en ligne !

Vous pouvez bien sûr utiliser la ligne de commande pour utiliser des options particulières. Vous les retrouverez sur le site officiel dont voici le lien :

http://trimage.org/

Encore le sur-place…

22 mars 2012

Je pensais que ça allait finir par passer, mais je n’arrive toujours pas à me motiver à m’énerver sur un de mes projets, même si j’ai quand même fait un petit ménage dans le CSS de mon site. Déjà que je me sentais blasée et dans une rage de lecture avant mon uvéite, mais là, on dirait que le fait d’avoir cet onguent à mettre avant le dodo pour encore 2 semaines (et ça me brouille la vision) n’aide pas. Quand il est déjà rendu 22h, t’as déjà l’impression qu’il ne te reste plus beaucoup de temps avant l’onguent. Mais au moins là, je viens de terminer les Advil aux repas et ma fréquence des gouttes est rendue à 2 fois par jour et il me reste encore une semaine à m’en mettre. Vivement que ça finisse.

Ça fait donc plus d’un mois que j’ai l’impression de ne pas avoir avancé… tout comme c’est le cas pour mes copines geekettes @FlammeDeNefs et @louhette …

Je vais voir une fois que j’aurai fini Passage to Dawn, le dernier tome de la quadrilogie Legacy of the Drow de la collection The Forgotten Realms. Je vais peut-être attendre avant de commencer la trilogie suivante où continuent les aventures de Drizzt et sa bande.

[LAMP] Problème d’accès à phpMyAdmin en local sous Firefox ? Vos cookies sont peut-être rances…

18 mars 2012

Depuis quelques jours, je n’arrivais plus à me connecter à phpmyadmin en local : ça me redemandait tout le temps mon mot de passe. Or le hic c’était que si j’essayais avec un autre navigateur ou avec le terminal ou encore en testant un script utilisant MySQL, tout allait bien ! Mais ceci était quand même gênant puisque je prévoyais m’atteler à la création d’un MOD pour le sixième MOD Contest de phpBB-fr.com, en plus que je voulais aussi travailler sur mon site.

Je suis donc allée demander sur ubuntu-fr mais jusque là, je n’arrivais à régler que le message d’erreur que j’avais de temps à autre en me connectant, ainsi que les erreurs dans les logs d’Apache.

…Puis en me rappelant que mathedit m’à déjà aidée plusieurs fois en rapport avec LAMP lorsque j’avais un souci, j’ai pris une chance de lui envoyer un MP sur Facebook en lui donnant le lien du sujet. Il m’a donc répondu et il a posté dans le sujet en question.

Sa réponse m’a amenée à une piste qui m’a permise d’arriver à nouveau à me connecter : C’était un problème de cookies ! En effet, ça faisait longtemps que je n’avais pas fait le ménage dans les cookies ou effacé tous les cookies. Celui de localhost en rapport avec phpmyadmin devait donc n’être plus bon et avait donc besoin d’être supprimé. C’est donc ce que j’ai fait, ainsi qu’un vidage du cache.

Supprimer les cookies d’un domaine sous Firefox version Linux

Allez dans Édition > Préférences.
Allez dans « Vie privée »
Cliquez sur « supprimer des cookies spécifiques »
Défilez jusqu’à ce que vous voyez localhost, sélectionnez-le et faites « Supprimez les cookies ».

Videz aussi le cache en allant dans « Outils » puis « Supprimer l’historique récent » et en laissant « Cache » coché avant de cliquer sur « Vider ».

En espérant que cette solution soit utile à d’autres qui pourraient avoir le même souci.